Étendue sur 17 324 hectares, cette appellation commence au Nord par la ville de Mâcon et vient terminer sa course aux portes de Lyon. Le Gamay règne en maître sur ce terroir aux flancs vallonnés par les monts du Beaujolais qui atteignent une altitude de 700 à plus de 1000 mètres. Le Chardonnay a également une place de choix dans cette appellation.
Reconnue depuis 1950, l’appellation s’étend sur plus de 5 000 hectares. L’essentiel de la production est constitué de vins rouges élaborés à partir de l’un des cépages-roi de la Bourgogne : le Gamay. L’appellation couvre une petite quarantaine de villages répartis sur des sols riches et variés.
Cette appellation née en 1938, répartie sur plus de 1 300 hectares, est la plus méridionale et la plus vaste des Crus du Beaujolais. Elle se situe dans le département du Rhône, au pied du Mont Brouilly. Elle produit uniquement des vins rouges avec le Gamay comme seul cépage.
Cette appellation née en 1938, répartie sur plus de 1 000 hectares, est la plus méridionale des Crus du Beaujolais. Elle se situe dans le département du Rhône, au pied du Mont Brouilly. Elle produit uniquement des vins rouges avec le Gamay comme seul cépage.
1936 : l’année de création de cette appellation. 364 : le nombre d’hectares de vignes plantées. Située dans la partie nord du Beaujolais, le Gamay pousse ici entre 250 et 450 mètres d’altitude, ce qui en fait la zone la plus haute des Crus du Beaujolais.
L’appellation a vu le jour en 1936. Sa superficie ne dépasse pas les 1 000 hectares. Elle est sous l’influence de trois climats : océanique, méditerranéen et continental. Le Gamay, cépage exclusif de l’appellation mûrit sur des sols composés de granit rose de Fleurie.
Aux confins du Mâconnais, le mont de Bessay constitue la limite nord de l’appellation. Reconnue depuis 1938, cette appellation, qui s'étend sur 580 hectares, cultive exclusivement du Gamay. Le terroir des 4 villes de l’appellation : Jullié, Juliénas, Pruzilly et Émeringes, sont composés de sols granitiques, schisteux et de terres riches d’alluvions.
Créée en 1937, cette appellation de plus de 1 800 hectares repose sur un sol argilo-calcaire. Sur quelques 40 kilomètres, bordés par la Saône et la Grosne, les monts du Mâconnais s’étendent majestueusement. Le Chardonnay règne en maître sur ce vignoble et s’épanouit jusqu’à 400 mètres d’altitude.
Seul le Gamay est autorisé dans cette appellation. Depuis sa création en 1936, l’appellation n’est attribuée qu’aux vins rouges. Elle compte un peu plus de 1 100 hectares de vignes, et se situe au centre des Crus du Beaujolais. En son cœur s’élève la Côte du Py, cette colline d’origine éruptive. Une grande diversité de sols composent cette appellation : schiste, argilo-silicieux, sablo-limoneux ou encore alluvionnaires.
Du haut de ses 500 mètres d’altitude, la roche de Solutré surplombe les 764 hectares de l’appellation reconnue depuis 1936. Le vignoble occupe les versants et le pied de ce site d’exception ainsi que de la roche de Vergisson. Les sols sont composé d’éboulis caillouteux et des sols argilo-calcaires du jurassique sur un socle granitique. Les ceps de Chardonnay bénéficient ici d’un climat tempéré océanique à tendance continentale.
C’est au sortir de la seconde guerre mondiale que l’appellation a vu le jour, en 1946. Deuxième plus petit cru du Beaujolais, elle s’étend sur 322 hectares, exclusivement plantées de Gamay. Les ceps s’épanouissent sur une mosaïque de terroirs : pas moins de 17 ont été répertoriés.
Reconnue en 1971, l’appellation s’étend à l’ouest de Mâcon et de la Roche de Solutré à Saint-Véran sur 703 hectares. Elle est séparée en deux îlots entourant ainsi l’appellation Pouilly-Fuissé. Ici, seule la culture du Chardonnay est autorisée et les vins blancs sont rois.
Reconnue en 1999, l’appellation « Viré-Clessé » est née de l’alliance de deux communes : la commune de Viré, et celle de Clessé. Elles ont uni leur savoir-faire autour d’un cahier des charges commun. Ici, entre 200 et 400 mètres d’altitude, nous trouvons le meilleur sol pour le Chardonnay : le « cray ». Autrement dit un sol argilo-calcaire fin.